Né en 1979, C-Real est un dj liégeois passionné par la musique électronique. Il touche déjà à la composition en 1993 avant de commencer à manier les platines en 1995.
En 2003, il commence à organiser les soirées FUNTEK à Liège dans lesquelles il invite des DJ’s nationaux et internationaux réputés tel que Technasia, Steve Rachmad, Len Faki, Oxia, Secret Cinema, Ade Fenton, Ben Long, Tonio, Tom Hades, Redhead, Pierre, Trish Van Eynde, Stanny Franssen,... Grâce à ses soirées, il joue de plus en plus dans les clubs et soirées aux alentours et en Belgique... Il obtient également une résidence dans une station radio locale de musique électronique (warm fm).
En octobre 2003, il est qualifié pour la finale du concours I Love Techno au fuse.
En septembre 2005, il joue au Vooruit à Gand à l'occasion de la KOZZMOZZ 10 YEARS dans la salle young talent corner.
En 2006, il participe à un concours de remix pour le label Great Stuff Rec. et arrive à la 3ème place (sur 1500 participants). Après ce concours, il se décide finalement à envoyer quelques unes de ses productions à différents labels et signe sa première release sur Rhythm Convert (label de Tom Hades et Marco Bailey) pour un EP electro-tech.

Originaire de Spa, Jon Daniels achète ses premières platines à l'âge de 16 ans. Mais ce n’est qu’en 2006 qu'il prend au sérieux sa passion. Il découvre par la même occasion la deep house ainsi que ces dérivés et l'apprécie directement. Jon a l'occasion, cette même année, de jouer dans quelques soirées.
2007 lui aura donné l'occasion de paufiner son style vers des sons plus funky et contenant beaucoup de vocals.
L'année suivante, Jon redirige son style dans une approche plus eclectique, en incorporant dans ses sets des sons acid et des classiques du genre.
2009 arrivant, il participe à un contest organisé par WarmFM. Etant éliminé de justesse en demi-finale, l'équipe de la radio lui offre cependant une résidence hebdomadaire, et ce chaque lundi de 20h à 21h.
Aujourd'hui, à 22 ans, Jon a mixé notamment aux côtés de Raoul Belmans, Prinz, Cosy Mozzy, Apparat, Sebastien Leger, The Glimmers,...

Qui ? Amaury W. Aka Amauryus.
Où ? A lost hole...
Comment ? En admiration devant ses cousins, Amauryus se met à la guitare électrique mais 2-3 ans plus tard, il se tourne vers le Dj'isme. Il s'oriente directement vers un style que la plupart de ses amis n'écoute pas, la minimal-techno et l'electronique. Petit a petit, il a progressé et s'est dirigé vers le mix.
Influences ? La musique qui l'entoure. Tant le rock, le hip-hop, la techno... A peu près tout l'influence. Ensuite, bien sur, pas mal de Dj et producteurs l'ont inspire comme Oxia, Stephan Bodzin, Radio Slave, Joris Voorn... Mais il a toutefois essayé de faire les choses a sa manière, en y ajoutant sa touche personnelle.
Style ? Un tableau exprimant la rencontre nerveuse entre la minimal et la techno sur fond d'électronique.
Expérience ? Switch Festival à Ciney (BE) aux côtés de Dj comme Apparat, Shameboy, Sebastien Leger, The Glimmers, Wirspielen, ... Soirée rhéto, contests et autres soirées privées.
2009 ? Time Will Tell...

C'est au début des années 2000 que j'ai découvert la musique électronique, mais ce n'est qu'en 2002, lors de la diffusion d'une émission spéciale de FUSION, que j'eu le véritable déclic. Cette émission spéciale était consacrée à la soirée FOOD MAIN COURSE (Leuven, BE) du 10 mai 2002, laquelle mettait en avant la scène Détroit et notamment le plus illustre de ses représentants, Derrick MAY. Subjugué à la fois par sa technique et par le son que produisaient ses platines, je fus directement converti à la musique de Détroit, et c'est alors que je décidai de devenir Dj. Depuis les choses ont évolués et mon éclectisme latent m'a poussé à me diversifier. Naviguant donc entre électro, minimal, club et techno, j'essaie de varier les plaisirs tout en cherchant, dans ces différents styles, un dénominateur commun : le son organique caractéristique du collectif de Détroit.

En 3 mots ? Electro, Cut, Disco.
En plus de 3 mots ? SMK, à la base, c'est l'histoire d'un passionné aux goûts éclectiques qui a voulu se lancer dans la production de musiques électroniques. Il va donc lâcher sa douce à six cordes pour s'initier à l'art audio numérique sur des logiciels simplistes. Fortement axées Electro/Tech, ses premières compositions manquent encore de puissance et de richesse. En quête d'amélioration, il va apprendre à utiliser de nouveaux programmes et de nouvelles techniques comme le sampling, ou le sidechain, ce qui va lui permettre de terminer de premières ébauches et de pouvoir remixer d'autres tracks.
C'est en diffusant ses morceaux qu'on lui a proposé, cette année, de participer à un DJ Contest à Bruxelles où il a pu s'illustrer par sa sélection variée et ses édits personnels de morceaux. Ce contest lui a permis, armé de son contrôleur midi et son clavier maître, de mixer à diverses soirées privées dans la région (Fuse, IHECS...).